Si tu savais combien c'est dur d'être moi...
Ne pas supporter de ne pas tracer des lignes sur sa peau, ne pas supporter l'idée que cette dernière soit vierge de toute marque...
Oui c'est vrai j'en rigole souvent, que j'aime pas qu'on me plaigne ou qu'on me dise que c'est une passe difficile, mais c'est un peu vrai, même si je préfère le nier.
Non steuplait, ne me plains pas, me dis pas que tu comprends pu que tu me soutien, personne n'est pareil encore moins toi et moi.
Même si tu as connu les affres de la dépression, le gouffre de la solitude et le lourd poids de la culpabilité fantôme.
Je v
Chaque personne fait partie de la société.
Toi, moi, et lui assis dans le bus, elle qui chante sous sa douche, nous sommes des engrenages.
Notre société est une machine, une machine qui produit, consomme, détruit, créée.
Cet assemblage se dit stable, installé, inébranlable.
Il peut prétendre cela, car dès qu'une nouvelle pièce est créée, on la force, la façonne, coupe ce qui dépasse, afin qu'elle devienne à son tour un parfait engrenage, qui fait tourné ce système bien installé.
Mais il arrive parfois, quoi que on fasse, l'on n'arrive pas
La lune grimpait lentement
Tandis que le sommeil s'enfuyait.
Il paraît qu'attendre trop longtemps,
Transforme les passions en regrets.
Le vent brisait le silence de son âme.
Quelles voies fallait-il emprunter
Pour qu'aux longs d'une lame
son sang arrête de perler.
Vilaine lune grise qui la laisse seule
Pourquoi ne pas la prendre dans tes bras ?
Mais toi-même tu sais qu'elle ne reviendrai pas
Et qu'elle s'évanouirait comme une feuille.
Encore abbatu par un dernier souvenir,
Les mots et les promesses que tu n'as pas su tenir,
Les belles paroles en l'air et ton sourire,
Et toutes les choses que j'avais encore à te dire...
Je me suis laissé y croire,
Fuir un temps le désespoir.
Construire une histoire,
Un soutien pour tout voir...
J'aurais du, faire tant de chose,
Enfin trouver la cause,
Vivre un peu en osmose,
Ne plus me sentir morose...
Un jour je ne t'ai vu que rempli de peine
Me dire que la coupe est pleine,
Un jour je t'ai vu que rempli de peine
Et voici que l'amour se transforme en haine...
En haine
Au fond, j'ai besoin de te voir souffrir,
Mais tu n'a
Ça fait 8 jours que j'attends de tes nouvelles,
Aucun message, ni un appel.
Le temps s'effrite et me file entre les doigts,
Tandis que mon esprit ne pense qu'à toi.
Je me rappelle de ses jours de soleil chaleureux,
Front contre front, nous embrassions le bonheur,
Tu riais au éclat, avec un sourire ravageur,
Et on remerciait le ciel d'être deux.
La douleur est une peine qui imprègne la vie en son sein,
Je hurle d'incandescence et me brise en morceaux.
Seul se répète encore et encore et inlassablement tes mots,
Tandis que je me noie dans le souvenir de ton parfum.
Un jour viendra où je ne t'en voudrai
Qu'y a-t-il derrière cette ossature et ces chaires hideuses ?
Mis à part un vide purulent d'où émane la colère et la souillure.
Un océan de regret et d'actes manqués dont suinte le dégoût et la charogne.
Taillons dans mon torse indigne les lignes impures des sourires hypocrites,
Et que reste le souvenir sanguinolent d'une âme qui emporte sa vérité;
Loin dans les limbes des oubliés et des maudits,
Là où les mots ne sont mensonges qu'aux yeux de l'ignorant.
Un peu de tout et de n'importe quoi, il est vrai que je n'ai pas encore trouvé mon style... Pas très talentueux, après je dessine à la souris donc bon... Gomen pour le contenu pas très qualitatif. En ce qui concerne l'écriture... Comment dire... Je ne sais pas trop comment qualifié mes productions, je m'excuse pour l'orthographe qui va sans doute vous titiller les neurones, je fais ce que je peux, mais la dyslexie quoi ...
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